Cet article s'intéresse à la violence dans les relations amoureuses des jeunes favorisée dans certains quartiers, dans un contexte canadien. Il aide à identifier les facteurs qui augmentent les risques de violences ou les réduisent, afin de pouvoir mettre en place des stratégies préventives. Il s'appuie sur la thèse de Doctorat de l'autrice Martine Hébert.
Trois composantes seraient susceptibles de jouer un rôle sur la violence dans les relations amoureuses entre les adolescents :
En conclusion, l'article suggère que pour lutter efficacement contre les phénomènes de violence dans les relations amoureuse, les programmes implantés en milieu scolaire sont insuffisants. Les interventions ciblant les caractéristiques des quartiers associés à la violence constituent une piste prometteuse pour compléter les programmes existants.
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